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il y a 11 ans
Je fais parti des soumis chanceux, j'ai rencontré ma Maîtresse mais c'est parfois très dur. Nous nous voyons très souvent et passons presque tous nos week-ends ensembles, comme c'est à son initiative, cela me laisse entrevoir qu'une vie de couple serait possible.
Mon histoire a commencé avec un recadrage sur Fessestivites par Modératrice 3 qui m'a gentiment expliqué que mon annonce ne serait à rien si je la laissais en l'état et surtout sans photo personnelle. « On dirait une bouteille jetée à la mer qu'elle Maîtresse serait intéressée par un profil comme le votre » ?
Je ne remercierai jamais assez cette modératrice car elle m'a ouvert les yeux et donné des conseils puis des liens du site avec des textes et articles à lire. Je me suis donc remis en cause en suivant ses conseils, trois mois plus tard j'ai rencontré ma Maîtresse.
Un soir que nous étions chez moi, elle m'a surpris à regarder une vidéo ABDL puis m'a demandé si ce genre de truc me faisait fantasmer. Comme un soumis ne doit pas mentir à sa Maîtresse, je lui avoué que je portais parfois des couches pour le plaisir quand j'étais seul chez moi.
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Et tu fais tout dedans, pipi, caca et tu sorts avec ?
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Non Maîtresse je suis trop timide pour sortir en couche et je ne fais que pipi.
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Pourquoi ?
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Sans vouloir vous manquer de respect, la merde ce n'est pas mon truc.
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Si je comprends bien, tu fantasmes sur les couches mais tu ne sorts pas avec, la couche te permet juste de faire un petit pipi dedans et de te branler, c'est ça ?
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Vous avez raison Maîtresse. Lui ai-je avoué honteusement avec les joues si chaudes que je devais être rouge comme une pivoine.
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Un soumis assume ses fantasmes, si non c'est un soumis sans caractère, cela ne m'intéresse pas. Puisque tu es intéressé par la régression, pourquoi ne pas la vivre pleinement ?
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Ce n'est pas la régression qui m'intéresse, juste la couche Maîtresse.
Je lui ai donc expliqué la différence qu'il y a entre AB et DL, mais si elle m'écoutait avec attention, son regard et son sourire malicieux laissaient entendre que des idées perverses mûrissaient dans son esprit. A la fin de mes explications, elle m'a ordonné de me mettre nu puis à quatre pattes comme un bon chien obéissant puis, de lui faire voir où je cachais mes petites affaires pour jouer au pisseux. Mon sang n'a fait qu'un tout, j'étais blême car elle allait découvrir mes petits secrets.
A quatre pattes, je l'ai donc guidée jusqu'au placard de ma chambre devant lequel je me suis levé avec comme objectif de ne lui en faire voir qu'une partie. Elle m'a arrêté net et forcé à reste à quatre pattes sans bouger. Quand elle s'est mise à fouiller la grosse caisse en plastique dur, je me serai bien fondu dans la moquette. Maîtresse a donc découvert mes couches mais également mes culottes en plastique, mes bodys et ma grenouillère. Assise sur mon dos, elle commentait ses découvertes en les posant sur ma tête.
- Bien, alors maintenant tu vas me servir un coca puis me faire un défilé de mode en couche pour que je vois comment tu es beau avec ces tenues.
Que répondre ? Rien ! Dans un sens j'étais honteux et gêné, dans l'autre ravi qu'elle s'intéresse à cette partie de mes fantasmes. Après lui avoir servi son coca, la tête brûlante et la gorge serrée, je suis donc retourné dans ma chambre pour mettre une couche et une culotte en plastique. Entrer dans mon salon fut très difficile ! ! ! Un rappel à l'ordre m'a aidé à faire le premier pas pour me présenter à elle. Je lui ai indiqué que personne ne m'avait jamais vu n couche, comme pour essayer de masquer ma honte.
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Des patients en couche, j'en vois tous les jours au centre, sauf que eux n'ont pas d'autres choix que d'en porter. Par contre, ils n'ont pas les autres tenues que tu me cachais et que tu vas aller mettre sans tarder, histoire que je regarde à quoi tu ressembles quand tu te travesti en bébé adulte.
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Je ne me travesti pas Maîtresse, c'est de l'ABDL.
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Je crois me souvenir que se travestir c'est mettre des tenues pour ressembler à quelqu'un d'autre, que ce soit en femme, en bébé ou autre, tu seras puni pour me contredire et en plus à tord !
Aie ! Avec Maîtresse, les punitions ne sont pas des jeux, au point que lorsqu'elle me menace de punition, je me calme aussitôt. Pour essayer d'apaiser sa colère et donc ma punition, je me suis totalement investi dans sa demande de « défilé de mode » en lui demandant si je pouvais mettre un fond musical, une idée qu'elle a acceptée. Sans tarder, je suis allé mettre un body par-dessus la couche et je suis revenu marcher devant elle comme j'ai pu le voir lors des défilés de mode à la télévision. Elle a également voulu me voir en grenouillère puis que je refasse un passage avec mes culottes en plastique. Lors de mon dernier passage une surprise m'attendait.
- Habille-toi, nous allons faire un tour pour prendre l'air.
Mon sang c'est glacé dans mes veines mais je ne lui ais pas demandé si je pouvais poser la couche et la culotte en plastique, j'avais compris ses intentions et une punition dans la soirée suffisait amplement.
Juste avant de sortir, je lui ai dit que j'avais honte, mais elle m'a rassuré en me disant que cela ne se voyait pas et que ses patients n'avaient pas le choix. Il n'était que 20 heures, nous allions forcément croiser des voisins dans l'immeuble, j'étais blême. Ce soir là, j'ai du perdre un kilo car je transpirais de peur mais finalement tout c'est bien passé. Personne n'a rien vu ou plutôt personne n'a rien dit s'ils ont aperçu que mon pantalon était tendu.
Au retour Maîtresse m'a ordonné de me remettre à quatre pattes devant le canapé. Elle m'a laissé là un instant avant de revenir s'installer face à moi avec un autre coca. En guise de « récompense » pour avoir osé sortir en couche, j'ai eu le droit d'embrasser ses pieds puis de remonter un peu sur ses jambes recouvertes de bas noirs. Alors que je laissais gambader mes lèvres heureuses, j'ai pu découvrir une autre surprise : elle avait retiré son string ou sa culotte.
Soudain, alors que mes yeux fureteurs fouinaient sous sa robe la recherche d'une parcelle de cette anatomie magique et sensuelle que je n'avais pas encore vue (léché plusieurs fois oui mais avec un bandeau sur les yeux) elle m'a attrapé par les cheveux pour m'obliger à remonter vers son triangle de tantale. La douceur de son intimité m'a comblé de joie encore une fois, la peau satinée de son ventre plat fut un délice pour mon nez et mes yeux. Je me suis noyé de bonheur dans on intimité trempée, Maîtresse adorant l'humiliation, je me doutais bien que ce n'était pas la couche qui l'avait excitée, mais de me forcer à faire des choses. Les fragrances féminines sont des parfums si délicats que mes sens olfactifs les ont gardé en mémoire et gravés dans le marbre de mes neurones.
Une fois qu'elle eut pris son plaisir, plaisir me comblant de joie, nous avons dîné et regardé un film qu'elle avait envie de voir. Lorsque je lui ai demandé si je pouvais aller aux toilettes, j'ai pris une gifle. Cette gifle n'avait rien de méchant et il en faut plus pour m'étaler, mais elle annonçait clairement ses intentions. Nous avons dormis côte à côte, elle dans une chemise de nuit affriolante et moi en couche. J'ai eu droit à un petit baiser furtif sur mes lèvres puis à un « bonne nuit bébé » moins amusant pour le ton ironique.
Le lendemain, c'est avec une couche lourde que je lui ai apporté son café au lit vers 9 heures comme à son habitude. A genou au bord du lit, je mangeais des yeux ma Reine, aussi belle le matin au réveil que le soir, malgré ce qu'elle en dit. Elle m'a ordonné de me changer puis d'aller lui acheter des cigarettes, j'ai donc fait ma deuxième sortie en couche tout seul et avec fierté. Non pas la fierté de porter une couche, mais la fierté de le faire pour elle. Etant invitée chez ses parents, ce dimanche là, elle ne pouvait rester ce qui m'a attristé mais que faire hormis lui souhaiter une bonne journée ? Lorsque c'est elle qui vient chez moi, je ne change pas les draps de la semaine pour garder le parfum de son corps qui me manque tant. Je suis amoureux fou d'elle, vous l'aurez compris et cet amour me fait tout accepter, allez donc savoir pourquoi ?
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La semaine suivante il était convenu que je me rende chez elle. Je m'y suis rendu sans couche, ne voulant pas la provoquer, chose à hauts risques avec Maîtresse. Après avoir pris l'apéritif, par moi servi nu avec un petit tablier..... ma Maîtresse m'a rappelé que nous avions toujours une punition en compte depuis le week-end précédent. (Aie) Lorsqu'elle m'a demandé si j'avais pris mes couches, j'ai donc répondu par la négative, réponse qui l'amusait sans que je n'en saisisse la raison.
Elle m'a demandé de m'étendre sur ses genoux puis m'a donné une sévère fessée. Les fesses me brûlaient mais j'ai résisté à la tentation de m'y soustraire, car la fois où j'ai usé d'un peu de force pour ça, elle m'a renvoyé chez moi me privant d'un week-end en sa compagnie. Ce soir là, malgré mes suppliques de reprendre la fessée, rien n'y a fait et je suis reparti l'âme en peine avec l'impression de l'avoir déçue. Vous comprenez donc pourquoi je ne m'y amuserai pas une seconde fois même si je preux le prendre sur mon épaule pour aller faire un footing.
Maîtresse a enfilé des gants médicaux puis m'a mis du lubrifiant sur l'anus avant d'enfoncer un doigt dans mon cul sans plus de précaution. Les fesses brûlantes, la position couchée sur elle avec son doigt dans le cul, j'avoue que j'étais très gêné mais elle n'en avait que faire comme à son habitude. Elle sondait mes entrailles sans la moindre attention pour ma pudeur.
- Ton examen médical est clair, tu es constipé. A déclaré ma Maîtresse avant d'ajouter, va dans la salle de bain, il y a quelque chose pour toi. Je veux que tu le ramènes ici.
En soumis obéissant, je suis donc allé dans sa salle de bain en pesant à une agréable surprise et là, j'ai rapidement déchanté. Deux couches m'attendaient posée sur le meuble avec trois suppositoires et une paire de menottes. Totalement bloqué par cette découverte, je n'osais pas les attraper, c'était comme si ces couches pouvaient me mordre. Un rappel à l'ordre de Maîtresse m'aida à vaincre ma peur et à m'en saisir pour lui rapporter sa « surprise ». Arrivé au salon, elle m'a demandé de les poser sur la table basse puis de prendre la position 6 à ses pieds.
Ses charmants petons recouverts de bas noirs, se sont mis à caresser mon torse en générant sur leur passage des frisons de plaisir. Ils se sont aventurés ensuite sous le petit tablier pour venir taquiner le gougeons qui, rapidement, prit une taille si conséquente que le dit tablier remonta d'un cran. Et là, le couperet est tombé :
- Pour ta punition, ce soir je vais t'aider à assumer ton côté DL jusqu'au bout. Tu as deux choix possibles, accepter ou rentrer chez toi. Comme j'ai d'autres projets bien plus sympathiques, cela m'ennuierait que tu partes, j'ose espérer que tu vas accepter ta punition sans me faire un caca nerveux !
Avec Maîtresse, la menace de me renvoyer chez moi n'est pas à prendre à la légère mais en même temps, son projet me rebutait à un point que j'ai très sérieusement hésité. Elle a vu que je bloquais, que nous étions dans mes limites et a tué dans l'œuf toutes les idées de négociations me venant à l'esprit.
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Ce matin, j'ai aidé une infirmière à changer un jeune de 20 ans handicapé à vie pour avoir défié un ami en moto. Si tu acceptes ta punition, je m'occuperai de tout si tu désires de l'aide, mais tu comprendras aussi que je ne pourrais pas accepter que mon soumis refuse une de mes punitions.
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Mais c'est très dur ce que vous me demandez Maîtresse.
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Par cette punition je mets la barre très haute, si tu parviens à surmonter ce tabou et donc à céder à mon envie de te pousser, demain j'aurai une très belle surprise pour toi qui te fera vite oublier ta punition. A toi de voir.
La tête basse, les larmes au bord des yeux j'ai accepté avec une voix qu'elle n'a pas aimée.
- Tu ne vas pas pleurer pour si peu, mes patients ont eux de bonnes raisons pour pleurer ! Assume ta punition et demain, je te laisserai te glisser sous ma couette et découvrir le reste de mon corps. Allez couche toi sur le dos et ne m'énerve pas où tu vas prendre en prime une fessée à la brosse.
Couché sur le dos à même le carrelage froid, je l'ai donc laissée me mettre les trois suppositoires. A chacun d'eux j'ai eu l'impression qu'elle me pourfendait le cul alors qu'elle m'a déjà godé plusieurs fois. Lorsqu'elle a refermé la couche j'étais blême alors que Maîtresse affichait le sourire du vainqueur. Elle s'est étendue sur moi et m'a embrassé en me disant qu'elle était fière de moi. Moi je n'étais pas fier de moi du tout !
J'ai eu le droit de me servir un whisky chargé et de lui servir un coca light. Pendant un moment elle m'a parlé d'un concert de piano donné au théâtre par François René du Chable. Lorsqu'elle m'a donné le programme, j'ai pu lui commenter les œuvres de Chopin, la thématique de ce concert. Elle a beaucoup apprécié quand je lui ai commenté le prélude de la goutte d'eau avec la fameuse histoire de Chopin et Georges Sand.
Mais quand elle a vu que je commençait à m'agiter, Maîtresse m'a fait aller dans la chambre puis étendre sur le ventre avant de me mettre les menottes en faisant passer le milieu derrière le pied du lit. Elle m'a recouvert d'une couverture et souhaité bonne nuit. Quelle horreur ! En coupant la lumière, elle m'a indiqué qu'elle ne voulait rien entendre sans quoi il y aurait une seconde punition. Non merci, je ne ferai pas de bruit.....
J'avais beau serrer les fesses je sentais bien qu'il se passait quelque chose. Cela me faisait des gaz et comme des bulles, des sensations horribles pas très douloureuses mais extrêmement désagréables. Je n'arrivais pas à trouver le sommeil, impossible avec ses gargouillements et sensations. Au bout d'un moment j'ai eu envie de faire pipi, alors tant qu'à avoir une couche, autant se laisser aller. Ce fut une très mauvaise idée ! En relâchant devant j'ai du relâcher derrière, ma couche s'est soudain remplie d'une matière chaude et liquide qui m'a couvert de honte. Pendant quelques minutes, il y eut d'autres rejets impossibles à Maîtriser. Les suppositoires qu'elle a pris à l'hôpital sont d'une efficacité remarquable pour luter contre la résistance.....
Le réveil a sonné au milieu de la nuit, je m'étais endormis je l'avoue. Maîtresse m'a donné la clé et m'a demandé si j'avais besoin d'aide pour aller me laver, chose que j'ai refusé car trop honteux. Elle m'a ordonné de mettre la deuxième couche après ma douche, dès fois qu'il y aurait encore quelques effets. J'avoue l'avoir détestée pendant la toilette dont je ne vous donnerai aucun détail. Je me suis donc recouché une demi-heure plus tard avec une couche propre avant de m'endormir comme un bébé.
Au petit matin, je me suis levé pour aller lui préparer son café et le lui apporter dans la position qu'elle désire, à genou au bord du lit. Son café consommé, elle m'a ordonné de virer ma couche et d'aller reprendre une douche et elle avait raison pour l'utilité de la seconde couche, il y avait quelques traces de freinage.... Lorsque enfin propre je suis sorti de la salle de bain, Maîtresse m'a appelé. A peine arrivé dans la chambre, elle m'a ordonné de me mettre à quatre pattes.
- Vient à quatre pattes jusqu'aux pieds du lit, déborde-le, glisse-toi dessous en faisant des bisous doux partout, partout et vient consommer ta surprise puisque je vais être « ta surprise ».
En soumis heureux et comblé, je me suis évertué en câlin, je lui ai dégusté les pieds, les chevilles et les jambes comme jamais. Alors que mes lèvres s'aventuraient sur ses cuisses, elles se sont grandes ouvertes, m'indiquant ainsi que je pouvais remonter vers son intimité.
Une sérieuse surprise m'attendait ! !
- Et oui, j'ai mis une couche. J'avais envie de faire pipi sans de me lever. Tu peux la retirer, me lécher de partout, si tu y arrives je m'offres à toi tout entière.
Si je me doutais de la raison du test HIV demandé la semaine précédente, je n'avais aucune certitude sur la concrétisation. Le « tout entière » qu'elle venait de dire était sans équivoque, j'allais pouvoir faire l'amour à ma Maîtresse. Lui retirer sa couche en déposant une myriade de baiser doux sur son ventre m'a enflammé les sens et aidé à lutiner son intimité cette fois un brin odorante. Le chalenge était de taille pour moi, par chance le goût n'était pas trop violent. Elle m'a attrapé par les cheveux pour que je remonte sur elle en me disant « prend-moi ».
Cette première fois restera gravé à jamais dans ma mémoire. Ce fut magique, fabuleux, doux, fort, intense et si beau que les draps s'en souviennent.
Je n'aurai jamais imaginé que Maîtresse soit aussi « gloutonne » au lit. Au moment le plus fort de nos ébats amoureux, sa bouche a mangé la mienne pendant que ses griffes lacéraient mon dos. A cet instant la douleur je ne l'ai même pas sentie, j'étais trop bien, trop heureux. Maîtresse m'a laissé venir en elle en m'indiquant qu'elle prenait la pilule, c'était divin et bien plus encore.
Nous étions encore enlacés et l'un dans l'autre, que son naturel de Maîtresse est revenu au galop entre deux baisers de gloutons.
- Maintenant que tu as pollué ta Maîtresse il va falloir la nettoyer !
Devant mon manque de réaction, elle m'a attrapé par les cheveux pour me guider entre ses jambes mais je n'arrivais pas à m'y résoudre. D'un seul coup de pied elle a envoyé les draps valser puis s'est redressée pour prendre appuis sur ses coudes avant de caler un oreiller derrière sa tête.
- Si tu espères un jour refaire l'amour à ta Maîtresse tu n'as pas le choix !
Maîtresse a l'art et la manière de motiver....... Je suis donc redescendu vers son triangle magique en y déposant des baisers, puis, pris d'hésitation je me suis attaqué à ses cuisses mais ses mains m'ont rattrapé pour plaquer mon visage sur son sexe avec un ordre clair : lèche !
Je m'y suis résolu avec peine mais je l'ai fait. Si j'étais à deux doigts de la nausée, Maîtresse s'éclatait. Complètement déchaînée elle cambrait même son ventre sans aucune pudeur pour l'offrir à ma langue. D'un seul coup, elle m'a fait rouler sur le côté avant de prendre mon sexe mou entre ses lèvres. Popaul s'est aussitôt réveillé pour afficher sa plénitude avec fierté et là, j'ai reçu l'ordre de la prendre encore. Chose que j'ai faite avec plaisir même si je savais ce qu'il m'attendait après la conclusion de notre fusion charnelle.
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Maîtresse sait profiter des chose de la vie, mais elle garde toujours le contrôle de la situation quoi qu'il arrive. Je l'aime et je ne la remercierai jamais assez de me faire tant progresser et de me permettre de m'épanouir ainsi dans ma soumission que j'ai eu bien du mal à accepter. Pour info ma soumission est un paradoxe, j'ai un dur métier et je commande 80 personnes qui me craignent y compris lors des entraînements au combat de rue, mais quand je suis avec Maîtresse, celui qui perd pieds c'est toujours moi. Allez donc savoir pourquoi ?
C.....
TSM journaliste de Fessestivites
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